Sorti
de prison après une peine de dix-neuf mois pour avoir provoqué la mort sociale
de son frère, Théo, mauvais bougre dans l'âme, pense n'avoir plus grand-chose à
craindre de la vie. Sa liberté sera plus qu'éphémère. Une balade imprudente en
montagne et cet humaniste contrarié se retrouve séquestré et réduit en
esclavage par un duo de psychopathes campagnards. Un coup à devenir franchement
misanthrope. Grand Prix de Littérature policière 2013.
Des nœuds d'acier – Sandrine
Collette – Denoël – 265 pages – 17€ - ***
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 20 octobre
2013