La
mondialisation a réellement commencé en 1914 avec la libre circulation des
obus, du gaz moutarde et de la chair à canon. François-Claudius Simon, le flic
de l'entre-deux guerre et son collègue Desmoulins en ont gardé quelques
séquelles. Au moment où la magie du cinématographe émerveille le peuple, une
série de meurtres emprunte le scénario du feuilleton le plus apprécié, et s'empare
des salles obscures. Enquête au cœur d'un eldorado de l'illusion dans la
Cinépolis de Vincennes.
Le quadrille des maudits – Guillaume
Prévost – 10/18 – 377 pages – 8,10€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 2 juin 2013