Salué par Graham Greene dès 1946, mort il y a un peu plus de 50 ans, Peake fut ignoré en France de son vivant. Un château démesuré, labyrinthique, des personnages excentriques et grotesques, une intrigue à la Dickens. Et surtout un pays où l’on n’arrive jamais dans lequel André Dhôtel qui aida à la découverte de ce monument de l’imaginaire chez nous en 1974 se reconnut bien évidemment.
Le cycle de Gormenghast - Mervyn Peake - Avant propos de Michael Moorcock, Préface et bibliographie de Jacques Baudou – Omnibus - 1184 pages – 31,50€ - ****
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 13 mai 2018Lire aussi dans Sud-Ouest