Elles sont cinq jeunes femmes invitées par les éditions Servane Astine à participer à l'atelier d'écriture dirigé par Pierre Yves François. L'une d'elle, commandante de police, a même eu l'autorisation d'amener son mari gendarme. Michel Bussi ne parodie pas Agatha Christie, il invente sa mécanique policière dans le décor de rêve des Marquises. Chaque mort dans ce huis-clos ensoleillé est un chapitre du roman à énigmes que tentent de déchiffrer l'adolescente, fille de l'une des disparues, et Yann, le gendarme. Un agréable divertissement rythmé par les accords de Brel.
Au soleil redouté – Michel Bussi – Presses de la Cité – 430 pages – 21,90€ – ***
Lionel Germain