"Imaginez un pays corrompu par le pétrole et la cocaïne – le Texas rencontre Medellin", et vous avez l'une des cartes de visite du Venezuela. Le héros de J.J. Connolly est un truand anonyme, le nameless du crime. Une plaque de métal dans le crâne héritée d'un coup fourré lui perturbe la base de données et la promesse d'un pactole indécent lui met dans les pattes les tueurs d'un cartel vénézuélien. Mauvais karma quand on espère régler ses affaires à New-York en 2001. Cette année-là, le mois de septembre fut meurtrier.
Viva La Madness – J.J. Connolly – Traduit de l'anglais par Fabrice Pointeau – 10/18 – 624 pages – 9,10€ - **
Lionel Germain