Imaginez que vous ayez réchappé à un tueur en série, été en partie boulotté par un de ces dégénérés qui hantent les villages perdus des films gore, ou encore que vous soyez l’ado de tous les romans de King, celui qui a vu l’horreur sans nom dans les yeux : difficile d’éteindre sa lampe le soir. Vous voilà réunis pour un groupe de parole : méchamment drôle !
Nous allons tous très bien, merci - Daryl Gregory - Traduit de l’américain par L. Philibert-Caillat - Le Bélial’- 200 pages - 16€ - ***
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 13 septembre 2015