En 1987 Silverberg entreprend un roman résolument postmoderne sur la fin de l’univers, mais en perd le fil. La rencontre, il y a quelques années, d’un jeune doctorant devenu son voisin l’amène à exhumer ce brouillon. Mais Alvaro n’en écrit pas la suite : les deux novellas que contient ce livre tiennent davantage du cadavre exquis que de l’écriture à quatre mains.
Glissement vers le bleu - Robert Silverberg et Alvaro Zinos-Amaro - Traduit de l’anglais (USA) par Eric Holstein – ActuSF - 262 pages - 18€ - ****
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 27 septembre 2015