Breen a fui devant les agresseurs de son équipier, les scènes de crime le font vomir mais il est capable de grimper dans un arbre pour sauver le chat d'une fillette. On est en 1968 et tout le monde en Angleterre a déjà son Beatle totémique. Breen se verrait bien en Ringo Starr, les experts le trouvent plutôt Lennon. Sur fond de Biafra et de drame africain, tout n'est pourtant pas qu'amour dans les rues de Londres. Un bon flash-back.
Du sang sur Abbey Road – William Shaw – traduit de l'anglais par Paul Benita – 10/18 – 528 pages – 9,10€ - **
Lionel Germain - Sud-Ouest-dimanche – 1er février 2015