Les retraités font souvent mine de promener le chien et se retrouvent à patrouiller sur les lieux de leurs crimes. Normal pour d'anciens flics comme Rebus que Rankin refuse d'abandonner en pantoufles dans un salon crépusculaire. La patronne le ramène au bercail pour son expérience du milieu et il redevient flic malgré son look de "cadre moyen sans âme et sans tripes". Des dialogues toujours aussi percutants.
Tels des loups affamés – Ian Rankin – Traduit de l'anglais par Freddy Michalski – Le Masque – 452 pages – 22€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 12 mars 2017