Une femme flic dépressive est sauvée du suicide par son collègue. Intuitive et brillante, elle est capable de reconstituer une scène de crime d'un simple clignement d'œil. Un don très utile pour comprendre le meurtre ritualisé d'une petite fille. L'intrigue a des atouts mais malgré son talent de conteur, le Norvégien Samuel Bjork est loin de la démesure de Jo Nesbo auquel il est comparé en quatrième de couverture.
Je voyage seule – Samuel Bjork – Traduit du norvégien par Jean-Baptiste Coursaud – Lattès – 512 pages – 20€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 22 novembre 2015