Vito Stega, commissaire inventé par Piergiorgio Pulixi, n'est un cadeau pour personne. Sauf pour le lecteur peut-être, embarqué dans la recherche d'une raison à cette folie du "bien" qui anime le personnage.
Quand débute cette première enquête, des adolescents assassins enfermés dans le secret de leurs crimes sont aussi indéchiffrables que le flic. Malgré sa mise à l'écart, coincé entre son psy et l'affection de sa collègue, il progresse pourtant et on finira donc par trouver des réponses. Mais au-delà de cette résolution de l'affaire, Vito, lui, reste une énigme fascinante.
Le Chant des innocents – Piergiorgio Pulixi – Traduit de l'italien par Anatole Pons-Reumaux – Gallmeister – 336 pages – 23,80€ - *** –
Lionel Germain
Lionel Germain