Il y a belle lurette que nous vient du nord quelque chose comme une vague-submersion dans les littératures de genre. Et d’Islande, où l’on ne cesse d’imaginer des futurs pas toujours politiquement corrects, nous arrive cet étrange hybride de Boris Vian et d’Orwell: une alternative écolo au tout électro via le langage des oiseaux, mais pas que. Et un remède peut-être pire que le mal!
Lovestar - Andri Snær Magnason - Traduit de l’islandais par Éric Boury - J’ai lu - 382 pages - 8 € - ***
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 7 mai 2017Lire aussi dans Sud-Ouest