En fait, comme dirait Jean-Bernard Pouy, journaliste de voyages, ce n'est pas la mer à boire. Plutôt l'occasion de profiter des croisières de luxe moyennant quelques articles de complaisance. Une traversée du suspense pendant laquelle l'envoyée spéciale de Ruth Ware est le seul témoin d'un meurtre. Tangage, roulis et rebondissements pour lecteur en manque d'adrénaline.
La disparue de la cabine N°10 – Ruth Ware – Traduit de l'anglais par Héloïse Esquié – Fleuve noir – 432 pages – 20,90€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 18 février 2018