La route des Roms croise celle d'autres nomades dont les projets n'ont rien à envier aux gangs de détrousseurs et de mendiants professionnels. Face aux réseaux mafieux russes et maghrébins, ils constituent parfois le maillon faible dans la chaîne du crime. Une exploration quasi documentaire des marges du "rêve français" dans un premier roman où pointe un savoir-faire de vieux briscard.
Il ne faut jamais faire le mal à demi – Lionel Fintoni – L'Aube noire – 336 pages – 19,90€ - ***
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 19 novembre 2017