Caryl Férey parraine l'auteur et qualifie le roman de "musical, drôle et trash". Trash, c'est une certitude. Drôle, ça reste à voir. Les jours et les nuits de Paolo, le guitariste, sont électriques. Son entourage se déglingue à vue d'œil. En cause, une nouvelle drogue apparue dans tous les lieux branchés. Birdy est une jeune femme perdue dans les angles morts de la nuit parisienne. On tue pour purifier le monde au nom du Christ. C'est sûr, en 2017, il y a urgence à dénoncer l'intégrisme chrétien qui menace la France… .
Je m'appelle Birdy – Franco Mannara – Calmann-Lévy – 412 pages – 19,90€ - **
Lionel Germain