L'île
au large de Stockholm suscite quelques convoitises et ses trésors immobiliers
condamnent les imprudents à boire la tasse au fond du port ou le bouillon de
mort-aux-rats à l'heure du thé. On y reconnaît
surtout la Suède à cette manie qu'ont les femmes d'affirmer leur indépendance,
comme Nora Linde, la juriste, associée dans cette première enquête à un
policier "modèle, grand, rassurant, blond aux yeux bleus".
La Reine de la Baltique –
Viveca Sten – Traduit du suédois par Rémi Cassaigne – Albin Michel – 387 pages
– 20,90€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 22 septembre
2013