Entre dystopie totalitaire et roman d’épouvante, le dernier King revient, encore et encore, aux enfants, disparus, exploités, martyrisés. Près de 800.000 tous les ans, dans la vraie vie aux USA. Ici un jeune surdoué est kidnappé, cloîtré dans un étrange institut aux côtés d’autres gamins aux pouvoirs étranges. Le propos est un peu convenu mais la magie de l’écriture du maître opère, dès la première page on embarque.
L’institut - Stephen King - Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch - Albin-Michel - 600 pages – 24,90€ - ****
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 22 mars 2020Lire aussi dans Sud-Ouest