Une histoire de fin du monde, encore. Mais sans guerre ultime ni catastrophe écologique. Simplement un immense corps céleste qui se rue sur le système solaire, colorant tout en rouge et noir. Une humanité du futur qui a inventé le voyage dans le temps et essaie de se jouer des paradoxes. Un homme et une femme enfin, qui s’aiment et tentent de conjurer le sort en s’installant dans un passé où ils rencontreront Philip K. Dick. Un clin d’œil mais pas que.
Le Temps de Palanquine - Thierry Di Rollo - Le Bélial’- 280 pages - 15€ - ***
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 18 juin 2017