La tradition du regard critique inscrit dans une intrigue la plus réaliste possible a des précurseurs célèbres au 19ème siècle mais séduit toujours les auteurs contemporains. À commencer par Christian Roux. Dans "Que la guerre est jolie", il analyse tous les maux de la société française, corruption immobilière, trafic de drogue et cauchemar post-traumatique en rapport avec une guerre sans nom. Brillantissime.
Que la guerre est jolie – Christian Roux – Rivages – 300 pages – 19,50€ -
Réédition septembre 2019 - Rivages noir – 432 pages – 9,50€ - ****
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 8 juillet 2018Réédition septembre 2019 - Rivages noir – 432 pages – 9,50€ - ****
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