Des milliards de milliards de dollars. C'est la part des anges des paradis fiscaux dont certaines enseignes clignotent au cœur de l'Europe. Le roman de Cristina Alger a tous les défauts du mélange des genres, romance et investigation, mais c'est aussi sa force d'attraction principale. On y observe depuis Genève la corruption généralisée du monde de la finance.
La Femme du banquier – Cristina Alger – Traduit de l'américain par Nathalie Cunnington – Albin Michel – 416 pages – 21,90€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 7 juillet 2019Lire aussi dans Sud-Ouest