Conçu pendant la dictature en Argentine, ce livre ne parut qu’après sa chute. Il n’a rien d’un brûlot politique pour autant. Suite d’histoires évoquant un passé immémorial, qui peut être aussi un lointain futur, il parle du pouvoir, de la folie des hommes, de la beauté du monde. Dans son pays, l’auteur est considéré à l’égal d’un Borges. C’est sa première traduction en France.
Kalpa Impérial - Angélica Gorodischer - Traduit de l’espagnol (Argentine) par Mathias de Breyne - La Volte - 245 pages - 20€ - ****
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 14 mai 2017Lire aussi dans Sud-Ouest