Flirtant avec les mânes d'Hitchcock, Boileau-Narcejac, voire Patricia Highsmith pour la perversité du rapport amoureux, Gilda Piersanti met en scène la descente aux enfers d'un homme heureux, père et mari comblé. Pour approcher l'enfer quoi de mieux qu'un retour de flamme. La réapparition d'un amour de jeunesse allume un brasier destructeur.
Un amour parfait – Gilda Piersanti – Le Passage – 288 pages – 19,50€ - ***
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 7 avril 2019Lire aussi dans Sud-Ouest