Disparu récemment, Dozois était un maître de la forme courte. Dans le genre, cette histoire archi rebattue d’invasion extraterrestre, mais vue par la bande, du point de vue d’un écolier qui buissonne et des deux IA qui dirigent véritablement le monde Est et Ouest confondus, est un chef-d’œuvre d’humour et d’intelligence. H.G. Wells au pays de Stand by me.
Le Fini des mers - Gardner Dozois - Traduit de l’anglais (États-Unis) par Pierre-Paul Durastanti - Une heure lumière/Le Bélial’ - 100 pages – 8,90€ - ***
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 24 juin 2018