Pour réviser ses humanités, on peut plonger dans le dernier péplum Netflix, ou ouvrir ce livre au titre improbable. En 421 av. J.-C. la guerre fait rage entre Athènes et Sparte, Aristophane s’inquiète du piteux état des phallus de carton dont il affuble ses acteurs et les dieux se démènent pour calmer les humains. Un jeune nigaud et une nymphe un peu sotte surfent sur la vague.
La déesse des marguerites et des boutons d’or - Martin Millar - Traduit de l’anglais (Écossais) par Marianne Groves - Folio SF - 280 pages – 7,80€ - ****
François Rahier – Sud-Ouest-dimanche – 15 avril 2018