Harald Gilbers égrène les heures crépusculaires de ce printemps 1945 où les Russes se présentent en libérateurs dans Berlin. Oppenheimer, commissaire juif en perpétuel sursis, se terre dans une cave avec sa femme et quelques rescapés de la débâcle. Viol, pillage, exécutions sommaires, et recherche effrénée d'un secret militaire qui fait "boum".
Derniers jours à Berlin – Harald Gilbers – Traduit de l'allemand par Joël Falcoz – 10/18 – 522 pages – 8,80€ - ***
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 2 juin 2019
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