Dans des flashbacks très courts mais d'un réalisme saisissant, l'auteur
nous fait revivre les ultimes sursauts de l'Algérie française en 1961.
La jalousie de Sebag et le questionnement discret qu'il entretient avec sa conscience construisent en parallèle un des personnages les plus attachants du polar hexagonal.
La jalousie de Sebag et le questionnement discret qu'il entretient avec sa conscience construisent en parallèle un des personnages les plus attachants du polar hexagonal.
Les violents de l'automne – Philippe Georget – Jigal – 340 pages – 18,50€ - ***
Lionel Germain - Sud-Ouest-Dimanche - 2 septembre 2012