Dans ce roman de 2008, Petros Markaris envoie le commissaire Charitos en vacances avec sa femme à Istanbul. Une vieille dame est soupçonnée de semer la zizanie ce qui réveille pas mal de mauvais souvenirs. Notamment le saccage du quartier grec d'Istanbul en 1955. Un complot cent pour cent turc imaginé après le faux attentat de Thessalonique.
L'empoisonneuse d'Istanbul – Petros Markaris – Traduit du grec par Caroline Nicolas – Points Seuil – 336 pages – 7,50€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche - 12 novembre 2017