mercredi 25 septembre 2013

Barbarie génétique

 
 
 
 
 
 Depuis "La Théorie Gaïa", Maxime Chattam peaufine sa vision du monde. La violence y est inscrite comme une nécessité dans la compétition entre prédateurs. Dans ce dernier roman, les gendarmes d'une brigade spécialisée affrontent une association internationale de tueurs en série. On tremble en découvrant que nos gènes ont gardé la trace de cette "conjuration primitive". Suspense efficace pour un grand guignol de l'horreur à prendre au second degré.
 
 
 
 
La conjuration primitive – Maxime Chattam – Albin Michel – 460 pages – 22,50€ - **
Lionel Germain – Sud-Ouest-dimanche – 25 août 2013